V
- n° Vol. 15 - n°6 - pp. 477-478
Dans l'objectif d'améliorer la radioprotection, les besoins de connaissances ne se limitent pas à la quantification du risque de cancer ; ils s'étendent à d'autres types d'impacts possibles d'une exposition interne chronique à faible dose. Dans le cas de l'uranium, qui est un métal lourd, la toxicité chimique doit être considérée en plus de la radiotoxicité. Des études expérimentales et chez des mineurs indiquant que les reins et le cerveau sont des organes cibles de l'uranium, l'exposition chronique pourrait avoir des effets sur les fonctions rénales, cognitives, mais aussi sur la reproduction ou d'autres fonctions.
Dans l'objectif d'améliorer la radioprotection, les besoins de connaissances ne se limitent pas à la quantification du risque de cancer ; ils s'étendent à d'autres types d'impacts possibles d'une exposition interne chronique à faible dose. Dans le cas de l'uranium, qui est un métal lourd, la toxicité chimique doit être considérée en plus de la radiotoxicité. Des études expérimentales et chez des mineurs indiquant que les reins et le cerveau sont ...
Uranium ; Risque nucléaire ; Radioprotection
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